Masters of Horror
Les Maîtres de l'horreur
Une série d'anthologie avec un grand nom du cinéma d'épouvante derrière chaque histoire... Les Maîtres de l'horreur (Masters of Horror) est une série télévisée américaine en 26 épisodes de 55 minutes, créée par Mick Garris
Terminée | Américaine | 60 minutes |
Epouvante-Horreur, Drama, Fantasy, Horror | Showtime, Canal+ | 2005 |
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1.12 - Les amants d'outre-tombe
Haeckel's Tale
Ernest Haeckel trouve refuge dans une cabine isolée au coeur de la campagne sauvage de la Nouvelle Angleterre. Il reçoit pour consigne de son hôte de ne sortir sous aucun prétexte. Alerté par les pleurs d'un bébé qui se mêlent à d'horribles gémissements, Haeckel désobéit et se retrouve au coeur d'une orgie peuplée de morts-vivants...
Diffusion originale : 27 janvier 2006
Diffusion française :
27 janvier 2006
Réalisat.eur.rice.s :
John McNaughton
Scénariste.s :
Clive Barker (short story)
,
Mick Garris
,
Clive Barker
Guest.s :
Christopher Delisle
,
Derek Cecil
,
Elizabeth McQuade
,
Gerard Plunkett
,
Jill Morrison
,
Jon Polito
,
Leela Savasta
,
Micki Maunsell
,
Pablo Coffey
,
Steve Bacic
,
Tom McBeath
,
Warren Kimmel
Le réalisateur : John McNaughton. Typiquement le genre de la série qui estampille un metteur en scène "Maître de L'horreur" sur la foi d'un seul film, le cultissime Henry, Portrait d’un serial killer (que j'ai vu il y a des dizaines d'années et dont je n'en garde pas trop de souvenirs). Après, il a tourné le très sympathique Mad Dog and Glory avec Robert de Niro, Bill Murray et Uma Thurman, puis il s’est un peu perdu (Sexcrime)
L'épisode : L'idée de transposer l'histoire à l’époque Victorienne apporte un plus et une atmosphère très réussie. Le début, très Frankenstein, est bien et jusqu'à mi-parcours, ça tient la route. Puis après ça déraille pas mal. Déjà, on nous demande d'avaler l'énormissime coïncidence qui fait que Haeckel soit héberger par un couple en affaire justement avec Montesquino. C'est vraiment trop gros pour que ça passe. Ensuite, l'histoire perd pied et sombre dans le n'importe quoi, car soudain, les zombies deviennent anthropophages et tout le monde se met à tuer tout le monde. Et en quoi cette histoire devrait effrayer le veuf du début ? Il n'y a aucun rapport avec le deuil qu'il a subi. De plus, le twist de la fin était prévisible au moins 20 minutes à la fin et la dernière scène est très kitchouille.
Reste une scène de gang-bang nécrophile assez étrange mais un peu émoustillante grâce à la plastique d'Elise. ar si les Masters Of Horror font systématiquement dans le sexe et la nudité gratuites et racoleurs, il faut reconnaître que les femmes sont très souvent belles à tomber. Mais à part ces 3 minutes de folies et grand-guignolesques, le reste flirte avec l'anecdotique.
Au final, je ne me suis pas ennuyé, mais cela aurait tellement pu être mieux écrit.